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ETA

18 novembre 2005

Le gouvernement de Zapatero en danger

Le président socialiste du gouvernement espagnol, José Luis Rodriguez Zapatero, déjà critiqué depuis le changement de politique à l'égard de l'organisation séparatiste basque ETA, doit faire face à une situation des plus périlleuses, en raison de la violente opposition d'une partie de la classe politique espagnole à propos du dossier catalan. Les députés espagnols examinent en effet, à partir du mercredi 2 novembre, le projet de nouveau statut de la Catalogne. Aux termes de ce texte controversé, la région de Catalogne constituerait à l'avenir une « nation ». La perception des impôts serait intégralement transférée au pouvoir catalan, qui en reverserait une partie à l'Etat en rétribution de ses « prestations » et au titre de la solidarité territoriale avec les régions moins riches. Jusqu'à présent, seuls le Pays basque et la Navarre perçoivent les impôts.

La conformité à la Constitution espagnole de ce projet vigoureusement défendu par les nationalistes catalans est mise en doute par certains de ses adversaires. Dans l'opposition, le Parti populaire est radicalement hostile à cette réforme. Il accuse M. Zapatero de saper les fondements de l'unité espagnole et craint une « contagion » à d'autres régions de l'exemple catalan.

M. Zapatero, qui ne dispose que d'une majorité parlementaire relative, doit donc s'attendre à des débats âpres, à l'issue incertaine.

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18 novembre 2005

Trente ans après la mort de Franco, les projets de Zapatero mettent en cause les compromis de la transition

La réinterprétation de l'organisation territoriale soulève la colère de la droite. Débattue depuis des mois, la réforme du statut de la Catalogne provoque des affrontements politiques violents entre majorité socialiste, opposition conservatrice et nationalistes catalans. Elle a achevé de dégrader une atmosphère politique déjà tendue depuis que le président du gouvernement, José Luis Rodriguez Zapatero, a entrepris de changer la politique de Madrid à l'encontre de l'ETA - politique à laquelle José Maria Aznar avait imprimé, non sans succès, un tour exclusivement répressif - pour tenter d'obtenir la fin négociée du mouvement séparatiste.

18 novembre 2005

Quatre militants basques condamnés à dix-huit ans de prison pour vol d'explosifs

Quatre militants de l'organisation séparatiste basque ETA ont été condamnés, jeudi 27 octobre, à dix-huit ans de réclusion criminelle par la cour d'assises spéciale de Paris, pour avoir participé à un vol d'explosifs en Isère en 2001.Mercredi, l'avocat général avait requis vingt ans de réclusion criminelle à l'encontre des quatre accusés, Gregorio Vicario Setien, 47 ans, Alberto Ilundain Iriarte, 43 ans, Maria-Dolores Lopez-Resina, 54 ans, de nationalité espagnole, ainsi que Didier Aguerre, un Français de 29 ans.

Source : lemonde.fr  le 27 Octobre 2005

18 novembre 2005

Nouvelles rumeurs de trêve entre le gouvernement et ETA

ESPAGNE. Selon le quotidien de droite « El Mundo », le gouvernement socialiste et ETA discuteraient d'un nouveau cessez-le-feu

Pas d'attentat mortel d'ETA en Espagne depuis le 30 mai 2003, jour oú deux membres de la police nationale furent victimes d'une bombe placée sous leur voiture. Le drame eut lieu en Navarre, à Sanguesa. Depuis, loin d'être restée inactive, ETA a provoqué une multitude d'attentats aux explosifs, dont l'un des plus spectaculaires le 25 juin 2005 au stade de La Peineta, à Madrid, alors que la capitale rêvait d'accueillir les JO de 2012.

Contrairement à ses habitudes, ETA s'est néanmoins abstenue de campagne estivale contre les intérêts touristiques espagnols, mais elle n'a cessé de faire pression pour le paiement de l'« impôt révolutionnaire » : attaques dirigées contre des entreprises, envoi de lettres d'extorsion dont la dernière vague serait parvenue en août.

Dans ce contexte, mille et une rumeurs de trêve courent depuis des mois, alimentées par les propos plus ou moins sibyllins tenus par tel ou tel membre du gouvernement, quand ce n'est pas par le président José Luis Zapatero lui-même. Hier, c'était au tour du quotidien « El Mundo » d'affirmer qu'en août, le gouvernement a entretenu des « contacts indirects » avec ETA afin de négocier une trêve dont l'annonce serait faite dans un délai de trois mois.

800 prisonniers d'ETA. Le quotidien madrilène (proche du PP) précise que l'opération « fonctionne bien » en dépit des récentes déclarations de la gauche abertzale, qui s'estime persécutée par certains juges. « El Mundo », invoquant des sources au sein des services de renseignements espagnols, ajoute qu'un cessez-le-feu annoncé, le chef du gouvernement espagnol solliciterait le congrès des députés afin d'être habilité à ouvrir des négociations.

En contrepartie, le sort des 800 prisonniers d'ETA incarcérés en Espagne et en France serait examiné. Dimanche, à Saint-Sébastien, la gauche radicale abertzale a d'ailleurs manifesté pour le rapprochement et l'amnistie des prisonniers tout en assurant qu'ils ne sauraient être « une monnaie d'échange ». Parmi les manifestants figuraient Rafa Diez Usabiaga, secrétaire général du syndicat ouvrier LAB, poursuivi par l'Audiencia Nacional pour appartenance à bande armée, ETA. Entendu hier par le juge instructeur Fernando Marlaska-Grande, il a finalement été laissé en liberté provisoire.

Trêves partielles. ETA, quoi qu'il en soit, maintient deux trêves partielles : l'une en vigueur en Catalogne depuis le 1er janvier 2004, l'autre depuis le 18 juin 2005 à l'égard des « élus des partis d'Espagne » (PP et PSOE). La perspective d'une nouvelle trêve se projette jour pour jour six ans après les accords de Lizarra-Garazi, passés entre les nationalistes de tous bords et les communistes-Verts en faveur d'une solution négociée.

Ils furent le fruit de contacts secrets menés entre nationalistes (PNV en tête) et ETA, laquelle déclara une trêve unilatérale illimitée et sans condition qu'elle s'empressa de rompre au bout de quatorze mois. Cette fois, les nationalistes modérés ne sont plus en première ligne, le PSOE dirige les opérations.

d ouest le 13 septembre 2005


Su

18 novembre 2005

Madrid serait en pourparlers avec ETA

ESPAGNE 

Le processus de dialogue lancé en avril par le gouvernement espagnol avec l’organisation terroriste basque ETA serait bel et bien en cours. A en croire la presse espagnole, l’exécutif socialiste aurait établi des contacts indirects avec des membres d’ETA cet été pour parvenir à un cessez-le-feu.

Le quotidien conservateur El Mundo annonçait hier en une la possibilité d’une déclaration de trêve d’ici trois mois. Selon des sources des services de renseignement citées par ce journal, le président du gouvernement, José Luis Zapatero, envisagerait de demander un feu vert officiel au Parlement pour entamer de réelles négociations, à la seule condition que les terroristes déclarent l’arrêt de la violence. D’après le quotidien, l’exécutif serait même disposé à offrir une contrepartie sous forme d’une « solution à la question des huit cents détenus de l’ETA ».

Avec plus de prudence, le journal El Pais, proche des socialistes, s’est également fait écho, hier, de ces pourparlers entre Madrid et les séparatistes d’ETA. Selon le quotidien, le gouvernement serait parvenu « à la limite de ses possibilités d’action ». Aux yeux de l’exécutif, « la balle est désormais dans le camp de Batasuna », le parti indépendantiste basque considéré comme le bras politique d’ETA et interdit depuis mars 2003. A plusieurs reprises, ces derniers mois, les sympathisants de Batasuna ont clamé haut et fort au cours de meetings ou manifestations illégaux leur volonté d’ouvrir un processus de dialogue politique pour mettre fin à quatre décennies de terrorisme. Pour autant, ces derniers, dont le leader Arnaldo Otegi est appelé à comparaître en novembre devant la justice espagnole pour complicité avec les terroristes, n’ont toujours pas donné satisfaction au gouvernement central en ne condamnant pas, notamment, la violence d’ETA.

La présence encore très ancrée dans la société basque des radicaux indépendantistes et la reprise de la « kalle borroka » (violence de rues) restent le maillon faible pour croire en une potentielle négociation entre ETA et Madrid. Pour certains spécialistes de la question basque, comme Eduardo Uriarte, membre de la fondation basque Pour la liberté, ces rumeurs de pourparlers sont à prendre avec des pincettes. « Je crois qu’il existe des contacts entre l’exécutif et ETA, mais de là à parler de trêve il y a encore beaucoup de chemin à parcourir, même s’il est vrai que l’organisation terroriste n’a jamais été aussi faible », assure Eduardo Uriarte.

Les espoirs de trêve de l’exécutif socialiste reposent en effet sur l’affaiblissement d’ETA. La collaboration policière et judiciaire franco-espagnole a permis de mettre sous les verrous les principaux chefs de la bande et de démanteler de nombreuses caches d’armes. Et surtout, depuis vingt-sept mois, les terroristes n’ont pas commis d’attentats mortels. « Lorsqu’une organisation terroriste ne perpétue pas d’attentats, elle s’oxyde et n’a plus de raison d’être, on peut alors peut-être espérer sa disparition », commente avec réserve Eduardo Uriarte.

Source: LE FIGARO - INTERNATIONAL / EUROPE le 13 septembre 2005

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8 novembre 2005

Chronologie des actions terroristes

  • Vous pouvez trouvez ici nos articles et ici La chronologie des actions terroristes ETA en cliquant sur ce lien:
  • http://fr.wikipedia.org/wiki/Euskadi_ta_askatazuna
  • --> Vous trouverez sur cette page toutes les dates qui ont marqué l'histoire du terrorisme ETA.

    2 octobre 2005

    Gaetan Vastine, Clara Bidini et Maria Lacalle presents

  • Bonjour cher visiteur,
  • Bienvenue sur notre blog! Tu pourras trouver ici toutes les informations importantes sur l'ETA, bon surf...
  •                 

                        drapeau_basque

    Euskadi ta Askatasuna

    E.T.A.

    "Pays Basque et Liberté"                           

    1 octobre 2005

    Ce blog est un brouillon! visitez notre blog http://etaespagne.canalblog.com

    Dans le cadre du Master 2 Comex CMAI (commerce international) et du cours de Veille nous avons réalisé ce blog sur l'eta en espagne. Visitez notre blog http://etaespagne.canalblog.com

    1 octobre 2005

    BLOG OFFICIEL : http://www.etaespagne.canalblog.com/

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